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* Travaux pratiques * (7)
Mis à jour le 20/08/2013
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Atout cuir . . . (6)
Mis à jour le 23/08/2018
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Latex, vinyle, ces matières, mmmmhh...… (7)
Mis à jour le 23/08/2018
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Jupes ou robes, toujours en hauts talo… (6)
Mis à jour le 20/08/2013
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En jeans, cuissardes ou escarpins ! (2)
Mis à jour le 10/08/2012
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- Je suis un/une :
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Trav
- Je recherche :
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Femme, Homme, Couple, Trans., Trav.
- Age:
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60
- Pays:
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France
- Région:
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Rhone-Alpes
- Ville:
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Chambéry
- Votre message :
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Bonjour / Bonsoir, et déjà merci pour votre passage !
Pour être CLAIRE :
- "Clin d'oeil", Message "préchié" etc. => POUBELLE SANS lecture,
- PAS de Chat, Skype, MSN, langage style SMS, de TU direct etc.,
- De même si pas de photo, pas même un texte d'annonce explicite,
- Ou vous n'avez que votre "kiki" à présenter,
bannissement immédiat...
Sinon disponible après contacts par courriel puis téléphone en après midi, soirée, voire beaucoup mieux nuit week-end, chez vous ou en hôtel, pour moments HAUTEMENT "HOT"s au grès des envies et désirs de chacun, dans la convivialité, le savoir vivre, la bonne humeur, le respect mutuel et bien évidemment hygiène EXIGÉE ?
En résumé, « Femelle à bite », travesti amateur de bite, bien perchée sur ses hauts talons pour rencontrer Mâles, Femmes, Couples pour joyeuses parties de « Sport en Chambre »...
Adepte de lingerie sexy tous les jours sous toutes mes tenues depuis des lustres, bas auto fixant ou collants ouverts en journée, sinon porte jarretelles, bas et talons de 12 à 18 sous mini ras les fesses sont mes tenues de prédilection à la maison et pour les plans baises, avec escarpins, sandales ou compensées vertigineuses l'été, mais préférence pour bottes ou cuissardes en toutes saisons ?
Bref, j'aime être "sexytante", ai toujours plaisir à le constater à voir les mâles "au garde à vous" dès qu'ils m'aperçoivent et l'assume totalement puisque toujours partante pour les soulager ?
Passive avec les VRAIS Mâles, mais non inactive, aimant aussi diriger les soumis comme être active avec consœurs puisque allant jusqu'à assortir en couleur mes cravaches à mes tenues, sacs, boucles d'oreilles...
Par ailleurs sensible aux ambiances et ouverte (dans tous les sens du terme d’ailleurs) à toutes sortes de propositions, pour qui jeux de mains sont jeux câlins voire beaucoup plus comme jeux coquins, amusements et plaisir divers, sachant que convivialité, savoir vivre, respect mutuel, hygiène irréprochable sont quand même un minimum exigé !
Mais ... très sélective ?! A vous lire, Nastash@---
- Ma Sexualité:
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Travestis
- je recherche :
-
Femme, Femme Bi, Homme, Homme Bi, Homme Homo, Couple, Couple F.BI, Couple H.Bi, Couple les 2 Bi, Travestis, Transsexuelle
- Type d'échange :
-
Triolisme, Pluralité masculine, Domination, Soumission, Fétichisme, Voyeurisme, Exhibitionnisme, Suivant feeling
- Disponibilité :
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En semaine, En week-end, Aprés-midi, Soirée
- Mobilité:
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Se déplace uniquement
- Fantasmes:
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Rêves de Gang Bang, devenir "la chose lubrique" de messieurs jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus, ou d'une Histoire zo Ô ologique, être la chienne d'une profonde saillie jusqu'à prendre entièrement son nœud voire rester "collée" avant que son Maître ne finisse par s'assouvir lui aussi dans mon puis...
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Femme godeuses, voire même fisteuses très très appréciées, de même que pluralité !
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- Histoires vécues:
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Rituel quand, "Dominatrice", je reçois un soumis, oui oui, vous avez bien lu, SANS e !
Il n'a d'autre choix que, les yeux humblement baissés, de passer illico dans la salle de bain, pour un déshabillage intégral sous mon regard scrutateur puis sauter sous la douche ?
Si besoin, la cravache le ramène de suite à l'ordre s'il se montre trop négligeant en quelque endroit, devant se tourner progressivement vers le mur afin de ne rien éclabousser, n'ayant pas à nettoyer ses salissures ! ! !
Et, quand se présente le moment ou, face à moi, se trouve son fessier, mon majeur droit doit pouvoir le pénétrer rapidement sans ressentir quelque raideur, refus, ou contrariété de sa part...
La main droite ainsi occupée à fouiller l'intimité de ma "chose", la gauche remonte empoigner sa poitrine, voire malaxer ses tétons avant de sournoisement descendre tâter l'état de son "gadget".
Il convient en ce qui le concerne de ne point bander, sauf sur mon ordre, auquel cas un coup de cravache bien appliqué cette fois remettra tout à la place qui lui sied ?
Et si réellement mon objet viendrait à bander comme un taureau, alors à chaque fois je me dis qu'autant "profiter de la chose", non ? Une bonne saillie ne m'ayant jamais fait de mal, et un soumis devant être à ma disposition pour mon propre plaisir...
Dans ce cas il se retourne, son outil au garde à vous, et doit délicatement relever ma jupe, écarter mon string ou plus intelligemment le descendre au niveau du pli des fesses mais PAS plus bas et se présenter à l'entrée de mon puis d'Amour, SANS le pénétrer.
C'est à moi, et à moi seule de m'embrocher comme j'aime le faire, savourer chaque millimètre de pénétration, l'ouverture progressive de mon petit trou, et lorsqu'à moitié passé mes anneaux, l'emprisonner, le serrer violemment avant de le pomper à l'intérieur de moi par des serrages alternés de relâchements successifs, mmmmhhh.
Une fois toute emplie, il n'a le droit que d'osciller à droite à gauche, en mouvements alternatifs, pas en va et vient, le temps que progressivement je me redresse jusqu'à trouver le bon angle, celui qui va chatouiller mon point G, celui qui va me faire jouir !
Et là, enfin il a le droit de commencer ses allers et retours, au rythme que je lui impose, à mon unique convenance. Et, si je le pressens réellement endurant, peut-être de glisser ses mains sous mes bonnets après avoir écarté soigneusement mon boléro ou mon blouson et enchanter mes tétons ?
L'ayant bien prévenu que, à ma demande expresse, il lui faudra dans l'instant me saisir par les hanches et me bourrer comme un âne quand je sentirais ma jouissance venir ! ! !
Il n'aura alors plus qu'à recommencer sa douche...
Pour venir sagement s'agenouiller face à moi, assise sur le canapé, jambes bien écartées, lui, petite chose, les yeux rivés au sol, n'ayant que le droit de mâter mes talons, les mains croisées dans le dos.
C'est ainsi qu'il acceptera la pose de son collier de chien, ma badine accrochée par sa boucle à mon gant tapotant légèrement son sexe le temps que je le lui passe puis lui accroche sa laisse, le tirant alors à moi pour que dans le creux de l'oreille je lui glisse "C'est bien mon chien, c'est très bien, tu obéis bien, tu me plais ainsi, sais tu" ?
Voilà ce que vivent "Fred" et "Loïc", deux bons chiens à ma disposition, en plus bien "outillés", mais hélas pour moi, libres uniquement en semaine, étant tous les deux mariés.
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Je sais pertinemment qu'à ce moment là ils n'ont d'yeux que pour mon string bossu qui se devine sous le revers de ma jupe mais laisse largement voir mes hautes jarretières en dentelle que j'adore, l'un des atouts, s'il en est, de la gente féminine ?
Car si la journée je porte collants toujours ouverts, "at home", je préfère de loin bas, avec ou sans couture, mais surtout hautes jarretières de dentelle et porte jarretelles, à six de préférences, les deux centraux encadrant bien mon bilboquet, les deux derniers mettant en valeur mes fesses...
Bref, les yeux rivés sur mon entrecuisse, je les arrache à ce tableau pour les ramener à leur réalité, une de mes jambes passant entre leurs cuisses pour titiller ou écraser bourses ou sexe, alors que l'autre se fait pressante de l'autre coté jusqu'à ce qu'ils la soulèvent délicatement pour la porter à leurs lèvres, en nettoyer la semelle avant de poursuivre par une bonne pipe sur le talon puis remonter sur mon ordre plus haut, toujours plus haut, l'autre ayant un moment un talon planté dans le gras de leur cuisse avant de remonter sur l'épaule...
Tout en les obligeant par la chaîne tendue à monter en embrassant toujours plus haut celle léchée, mon autre jambe se replie derrière le cou, jusqu'à ce qu'ils se trouvent le nez écrasé contre mon sexe, presque à en étouffer !
Moment que j'aime, ou la tête enserrée entre mes cuisses, mes cuissardes croisées dans leur dos ils ne peuvent s'échapper et à coup de dent doivent écarter mon string pour en faire jaillir mon clicli qu'ils s'empressent alors goulument d'avaler ? Car il ne faut pas croire, ce sont de très bons suceurs les hommes qui se laissent ainsi aller à leurs envies.
Deux petites tapes sur les fesses et ils savent qu'ils doivent passer leurs doigts sous mes bonnets en même temps que je me laisse glisser sur le canapé, les jambes toujours supportées par leurs épaules, et quand je me trouve en bonne place après avoir oscillé du cul plusieurs fois, là je les descends, enserrant leur taille de mes cuissardes, bloquant leurs avant bras sous les miens en même temps que je leur empoigne la tête, leur rôle se bornant à être une ventouse aspiratoire et deux paires de doigts, que je relance par un simple coup de coude à chaque arrêt non demandé !
J'adore ainsi imprimer moi même le va et vient, et s'ils savent si prendre, immisçant alors mes pieds entre leurs jambes, de la pointe d'une cuissarde je leur caresse le cul alors que bien appuyée sur mes talons à grands coups de bassin je leur baise la bouche ... quel plaisir que de les sentir ainsi, objet de jouissance devenus, ces mâles directifs dans leur métier, ces "hommes" amateurs de jus !
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Il est tout aussi curieux de constater que parfois la pointe d'une cuissarde sur le sexe ou les bourses voire parfois sentir un talon aiguille pouvant être blessant frôler ses organes ces soumis se mettent alors à bander comme des taureaux...
Comme quoi une bonne partie se passe dans la tête, aussi dans ce cas là, encore une fois je ne vois pourquoi je n'en profiterais pas ? ? ? Et me laisse alors glisser sur le canapé bien plus tôt, ce qui fait ma jupe s'ouvrir totalement en remontant, bien évidemment, alors que toujours léchant mes jambes gainées de cuir, celle ci aussi se relève vers ma poitrine...
Il ne me reste alors qu'à lever l'autre de façon identique tout en tirant sur la laisse vers le haut pour faire remonter le bassin de mon jouet à la hauteur qui me convient.
Par habitude, ils le savent, je croise les jambes à la verticale et qu'ils soutiennent alors par les chevilles, le temps que je tortille un peu du cul pour enlever mon string, leur mandrin titillant alors mon petit trou ?
Ainsi dégagée, ne leurs restent plus qu'à me pénétrer, tout doucement, toujours pour savourer pleinement cette intromission, et leurs autorise ensuite quelques va et vient à leur grès, alors qu'ils me tiennent toujours les jambes haut vers le plafond ! Un des moments que là encore j'apprécie, leurs secousses secouant jusqu'à mes boucles d'oreilles, sensation tout aussi agréable sur les lobes...
Jusqu'à ce que je décide de reprendre la main, pour poser mes talons au sol, contre leurs genoux, leurs faisant comprendre par de petites tapes de cravache que leurs mains ne doivent pas rester inactives et doivent s'activer sur ma poitrine, menant le rythme par celui que j'impose à la laisse tirant leur collier.
J'aime beaucoup ces moments ou je les vois résister à la jouissance, car interdiction leur en est faite, et quand enfin satisfaite de plaisir, je leurs laisse quand même, dans ma grande générosité, le choix en tant qu'amateurs de jus ? Déculer et jouir sur mon bas ventre sans ne rien tacher, ou jouir en moi !
Mais dans les deux cas, il leurs appartient, de leurs langues expertes, tout comme ils ont nettoyées mes cuissardes, de nettoyer l'ensemble des dégâts et de tout ce qui pourrait couler...
Comme un sous neuf j'étais, comme un sous rutilant je dois être après MON plaisir ! ! !
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Et quand chienne lubrique je suis...
Peut-être l'un de mes meilleurs souvenirs, un cadeau de Noël juste avant Noël ?
Je veux parler d'une rencontre impromptue avec "FoxEver", un "travesti", inconnu quarante huit heures auparavant en cette mi Décembre 2011 ! Les guillemets pour préciser que ce jeune homme aime s'habiller en fille, sans plus, mais que c'est dans cette tenue qu'il devient actif avec nous, les "filles à queue" !
Bref, contactée à propos de mes cuissardes, qu'il adore mais ne possède pas, il a insisté pour me rencontrer, ce que je n'ai pas regretté d'avoir accepté après coup.
Ce beau jeune homme arrivé, m'empruntant la salle de bain pour se "changer", quelques minutes après je vois apparaître une superbe blonde, mince, en "petite robe noire" vynil lui seyant à merveille, descendant juste au pli des fesses et déformée coté face par un gonflement diablement évocateur...
Le tout sur de longues jambes gainées de soie, mais pieds nus ! Me demandant alors timidement de lui présenter ma collection de cuissardes... Dans laquelle finalement il se décida pour les vernies à talons bobines de 14cm.
Venu ainsi totalement paré, il fit quelques tours sur lui même pour se faire admirer, entrecoupés de quelques pas pour s'habituer à "voir les choses de haut", avant de venir se planter devant moi, jusque là négligemment assise sur le canapé, la jupe porte feuille noire largement ouverte sur mon string rouge encadré par la haute dentelle de mes bas nylons, ses mains bien campées sur les hanches, arrogant par les jambes légèrement écartées, ne pouvant alors que constater, puisque à hauteur de mes yeux, que la précédente "bosse" avait encore augmenté ?
Que voulez vous qu'il s'en suivit ? Ma main de cuir noir ganté s'approcha, toucha, contourna avant de glisser sous l'ourlet et le remonter quelque peu afin de faire apparaître un mini slip luisant par les déformations car trop rempli par ce qui commençait à dépasser au sommet...
M'appuyant sur la main gauche tout en décroisant les jambes pour les écarter, j'empoignais le tout pour le faire avancer, bloquant entre mes cuissardes les siennes, découvrant l'outil qu'il me démangeais déjà de sentir m'aléser le cul ?
Deux coups de langue sur le sommet histoire d'en vérifier la propreté et déjà mes lèvres enserraient cet objet de désir avant de se rouvrir et descendre sur la hampe, remonter tout en faisant tournoyer la langue sur la base du gland, l'entendant gémir de plus en plus sourdement...
"Allonges toi, j'en peux plus" exigea t-il au bout de pas cinq minutes, et c'est ainsi que je me suis retrouvée les genoux sur le menton, lui me fermement tenant les talons au plafond de sa main gauche, la droite guidant sa bite vers mon orifice, qu'il prit à malin plaisir à pénétrer partiellement puis ressortir tout aussi rapidement, jusqu'à me faire le supplier d'enfin me prendre, ce qu'il fit sans prévenir, longuement, sans faiblesse, irréversiblement, totalement, irrésistiblement, jusqu'à enfin plaquer son nœud qu'il ne put faire rentrer ? Nous nous sommes rejoints dans les soupirs, ses mouvements lents et réguliers prenant possession de ma partie le plus intime, comme pour l'obliger à s'habituer à son pénis de dix neuf de long et épais de presque cinq centimètres.
Je pense aussi après coup que la lenteur de ses va et vient devait être calculée pour ne pas jouir trop vite ? Quoique, à la lecture de ce qui va suivre...
Toujours est il qu'au bout d'une dizaine de minutes il me demanda de me mettre à quatre pattes, pour m'embrocher immédiatement après avoir relevé et coincé ma jupe dans ma ceinture ! Puis me tenant fermement par les hanches s'ensuivit un bourrage endiablé, ses couilles claquant les miennes dans un rythme affolant et un bruit délicieux à entendre, son bas ventre claquant régulièrement mes fesses, moi incapable de me tenir sur l'accoudoir, notant au passage sur la pendulette dans le meuble face à moi 17H37...
Tout d'un coup il resta planté tout au fond, un gémissement rauque emplissant la pièce, oscillant du bassin de droite à gauche puis de haut en bas alternativement sans reculer d'un millimètre, tirant sur ma large ceinture noire, juste animé de quelques secousses, avant de reprendre un rythme plus lent, comme s'il soufflait, me traitant de "Bonne salope, tu te la prends bien, tu aimes la bitte hein ? Attends, je n'ai pas fini...", me claquant de façon sonore les fesses à chaque fois qu'il était prêt à presque déculer avant de se renfoncer comme hargneusement au complet !
Mais à me faire ainsi chauffer la partie charnue de mon anatomie sensible, je me redressais sur les avants bras, creusant alors les reins tout en relevant mon top pour découvrir mon soutien gorge assorti au string et dans lequel mes tétons pointaient délicieusement au contact de la dentelle. Il du comprendre l'invite car aussitôt ses doigts glissèrent sous les bonnets pour me faire gémir de bonheur quand il commença à les pincer, les étirer, les tordre, les allonger... Sa bite ne bougeait plus, juste plantée à l'entrée de mon puis d'Amour, et là, à ces instant, c'est moi, c'est mon petit cul adroit qui le pompait comme en l'aspirant en serrant de façon alternée mes anneaux. J'adore "infliger" ainsi ce traitement diabolique à une queue qui m'a bien honorée pour la rendre à nouveau active, la sentir durcir, mmmmhhh...
Mais cet étalon là n'avait pas débandé, et au bout d'un moment de ce traitement, ma gratifiant encore une fois de mots crus comme je les adore, il se remit à me ramoner toujours aussi délicieusement, alternant de petits va et vient et un enculage brutal et profond, ponctué d'un "Prends toujours ça salope" ou 'Tu t'enfiles tout ma chienne", tout en continuant à me torturer mes petits seins naturels. J'étais aux anges quand soudainement il lâcha mes tétons meurtris pour m'empoigner par les épaules, s'agitant frénétiquement dans mon cul jusqu'à se coucher sur mon dos, repassant en "mode petits va et vient langoureux", ses mains descendant à nouveau pour me tenir par la taille, peut-être de peur que je ne lui échappe ?
Mais telle n'était pas mon intention, un tel membre si bien planté dans mes entrailles, si bon baiseur, sachant alterner douceur et bestialité sauvage, mon petit trou se remit à le masser consciencieusement, ce qui sembla le rassurer puisque ses mains quittèrent mes hanches pour empoigner l'une l'ensemble des nœuds de mon corset, l'autre telle un peigne de ses doigts se glissant dans mes longs cheveux pour finalement les empoigner et me faire relever haut la tête !
Ses jambes passèrent par dessus les miennes, ses cuisses enserrant les miennes, et ainsi tenue, immobilisée, je me sentis encore plus femelle, plus chienne offerte impuissante à mon mâle en chaleur ! ! ! Son rut dura ainsi je ne sais combien de temps, ayant mal à la racine des cheveux, les tétons maltraités auparavant me brûlant au contact de la dentelle, il finit par me lâcher, m'écroulant le nez dans les coussins alors que le cul relevé en m'ayant empoignée à nouveau par la ceinture il me pilonnait sans ménagement. Je n'étais plus rien qu'une poupée sans volonté, un trou à piner, son vide couille, sa chose qu'il baisait sans aucun ménagement, jusqu'à ce quand même temps qu'un grognement rauque je le sentis à nouveau jouir de moi, de mon puis d'Amour, de mon petit trou endolori...
Relevant douloureusement la tête, je lus 19H18 ! Et du relire, prenant conscience alors qu'il n'avait quitté ni débandé pendant presque deux heures durant mes fesses ? ? ?
Aujourd'hui encore je m'interroge sur ce qu'il avait pu prendre avant de venir pour jouir ainsi trois fois sans débander vraiment, ou si c'est moi qui lui avait fait cet effet, ou la paire de cuissardes que je lui avais prêtées ? Il me reste un souvenir délicieux de m'être ainsi sentie "remplie, envahie" si profondément et si longtemps, et je n'ai qu'un regret quand, lorsqu'il m'a quittée après avoir repris sa "tenue d'homme" il a répondu à ma question quand pour... "Je ne viens qu'une fois, JAMAIS deux, c'est l'un de mes charmes, car la deuxième fois, ça ne peux être pareil, comprends tu ? Mais TOI, Nastasha, je peux t'assurer que je ne pourrais t'oublier, même mes nanas ne sont pas aussi chaudes !"
A quand la prochaine baise d'enfer comme celle là ? Car désolé pour quelques uns, mais il faut être réaliste, les bons coups, les vrais, sont rares...
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Commentaires
Signer le livre d'or
latexman69
Merci encore de me compter parmi vos "amis".
Cordialement et Esclavement votre.