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des bas, des jupes, des robes, des ten… (58)
Mis à jour le 08/11/2024
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- Je suis un/une :
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Trav
- Je recherche :
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Femme, Homme, Couple, Trans., Trav.
- Age:
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41
- Pays:
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France
- Région:
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Rhone-Alpes
- Ville:
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Vernioz
- Votre message :
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Petite travestie mince et imberbe. Je ne ne reçois pas chez moi mais je peux me déplacer. Je ne fait pas de plans hôtel.Les messages automatiques resteront sans suite. Les messages des profils sans photos resteront sans réponse. Je suis également la pute de hnatow pour mise a disposition en fourgon
- Ma Sexualité:
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Travestis
- je recherche :
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Homme, Homme Bi, Homme Homo, Travestis, Transsexuelle
- Type d'échange :
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Echangisme, Pluralité masculine, Exhibitionnisme, Suivant feeling
- Disponibilité :
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En week-end
- Mobilité:
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Se déplace uniquement
- Fantasmes:
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Première mise au tapin.
Après mes premières fois avec mon éducateur, j’eu tout le loisir de faire quelques rencontres avec des hommes qui me contactaient sur le site, ils m’exposaient leurs envies, et je réalisais leur désir en me rendant chez eux pour leur servir à loisir, d’écolière, de secrétaire de soubrette ou de bourgeoise guindée, tantôt pour qu’ils se vident sur mon visage, dans ma bouche ou me souillent mes habits classe avec leur semence. Cela faisait un moment que je n’avais pas eu de nouvelles de mon éducateur quand je reçu un petit message sur le site.
Comme à son habitude, il fut cru dans ses écrits et me demanda de venir le voir en petite salope pour qu’il puisse copieusement se vider les couilles et me marquer de son foutre. Rendez-vous pris pour le samedi soir.
Pour plaire à mon vicieux, je choisis une jolie tenue, des bottes blanches à lacet, des bas brillants couleur chair, tenus par une porte jarretelle brillant couleur champagne assorti avec le string et le soutien-gorge. Je mets une minijupe plissée blanche en satin accompagné d’un petit haut blanc en satin brillant à col montant, laissant apparaitre mon nombril. Je mets une perruque blonde assez longue avec un maquillage assez marqué. Je suis un peu moins vulgaire que la dernière fois.
Je prends la route, direction la débauche. Arrivée chez mon vicieux, il m’attend en bas de son perron, habillé, chaussé avec une veste et les clés de sa voiture en main. Je gare ma voiture, sors et m’approche de lui, il me toise et me que dit l’on peut s’embrasser pour se dire bonjour. Je m’approche de lui pour poser un baiser sur ses lèvres quand il me saisit par les épaules et grommelle. « pas la salope, tu n’es bonne qu’à embrasser ma bite ou me lécher le cul ». Le décor est planté, je m’agenouille le débraguette et enfourne son sexe dans ma bouche. Comme à son habitude, il me prend par ma crinière blonde et me fait coulisser sur sa bite. Il me flatte en me disant que je suce toujours aussi goulument, et que je suis bonne et sexy habillée ainsi.
Une fois les salutations avec sa bite, je me relève remet ma jupe et mes bas, mon violeur de bouche, m’annonce avec un petit sourire, que nous allons faire un tour en voiture. Pas rassurée, étant jusqu’à présent une travestie de salon, je lui demande ou nous allons, n’aimant pas apparaitre ainsi en public. Il me laisse dans mon désarroi et m’invite à monter en voiture. Je passe donc devant lui, il en profite pour tâter la marchandise et me passe une main sous ma jupe. Je monte dans sa BMW côté passager. Pour le coup, entre ma tenue, la voiture et mon conducteur, j’ai l’impression d’être avec un proxénète. Nous démarrons donc et prenons la route.
Sur le chemin nous parlons des précédentes fois. Son ami Claude m’a beaucoup apprécié, il me complimente sur mes tenues et mes talents de fille, cette coversation m’apaise et je pense moins a cet endroit inconnu ou nous allons. La campagne défile à travers la fenêtre sur cette route départementale. Je regarde le panneau du village que nous venons de quitter, il y a inscrit « Chamagnieu » Ce nom me dit quelque chose. Nous entrons dans une série de virages, puis mon pervers me dit, nous arrivons à l’ endroit que j’ai choisi Bianca. Je reste interloquée, c’est la première fois qu’il m’appelle par mon prénom. Je lui demande de m’en dire plus. Il me répond en souriant. « je t’ai toujours dit que tu étais une pute, une catin, une tapineuse, et que tu étais faite pour avaler toutes les bites qui passaient et donner ton cul. Et bien cette fois çi, tu vas le mettre en pratique, tu vas faire le tapin, mais tu seras une pute gratuite ». Mon cœur bat la chamade et mes jambes flagellent, un sentiment de peur et d’excitation se mêle. La voiture se gare sur un parking en contrebas de la route, il éteint les phares et me lance pour te détendre « tu vas me sucer un peu, ça t’excitera et tu mouilleras du cul, ça sera mieux ». Il abaisse son siège, dégrafe sa ceinture, me voila le nez dans ses poils pubien à le sucer au volant de sa voiture sur un parking à la réputation sulfureuse. Je suis en train de devenir Bianca, pute à routier.
Au bout de 5 minutes passé à lui administrer une belle fellation profonde, il me relève la tête et me dit, aller, il est temps d’aller tapiner. Il m’indique un petit chemin en terre et caillouteux perpendiculaire à cette aire ou je pourrais m’occuper de mes clients. Je sors de la voiture, je n’en mène pas large, mais je me dis qu’après tout, c’est un fantasme qui mérite d’être réalisé. Je reprends du courage, et je roule du cul tout en allant à ma place. Le parking est assez calme, mon pervers est au volant de sa voiture en face de moi, je suis installée faisant le pied de grue, je me dis que bien qu’ayant arrêté, je fumerai bien une cigarette. Je pense également à ce moment, que je suis habillée tout en blanc, et que par conséquent, on ne pourra pas me louper dans l’obscurité.
J’entends les moteurs des voitures qui arrivent d’un côté comme de l’autre, soudain, on entend un véhicule ralentir. Je l’entend nettement s’engager sur l’aire de repos. Il ralenti, avance tout doucement, puis s’arrête et se gare. J’entends une portière claquer et des bruits de pas. Mon souteneur en profite alors pour faire un appel de phares, révélant ainsi ma présence à cet inconnu. Celui çi me voit, et s’approche rapidement de moi. Il tourne autour de moi, ne dit rien. Il met la main sur son paquet et baisse sa braguette. Etant habituée, je m’agenouille sans réfléchir et le laisse me pénétrer la bouche. Sa bite est belle, propre et sent plutôt bon, une chance. Mon client a l’air satisfait de ma prestation, il m’encourage verbalement et également avec des petits coups de reins. Il me relève ainsi et me dit que mon cul doit être aussi accueillant que ma bouche. Il se reprendra a plusieurs fois pour mettre sa capote dans le noir, mais une fois mise, il me fait pencher et me pénètre à la hussarde. Ses coups de bite me font trembler et me déchirent le cul. J’entends quelqu’un approcher de nous, je n’ai pas fait attention, mais un autre véhicule s’est garé et un autre homme approche de nous. Une fois à notre hauteur, celui-ci lance « très bien, il y a de la salope ce soir » se débraguette, sors un sexe plutôt petit et flasque. Sans trop s’occuper de mes désidératas, celui çi l’approche de ma bouche et me force d’un coup sec, me voilà prise par le cul et la bouche. Son sexe est moins propre que le premier et il sent l’alcool. N’ayant pas trop le choix, je commence a faire tourner ma langue autour de sa bite pour la nettoyer, à force de salive et de pompage intensif, l’odeur d’urine disparait et je commence à bien le faire durcir. Je sens son chibre se contracter très rapidement, et il expulse, une grosse quantité de foutre au fond de ma gorge sans me prévenir. J’arrive tant bien que mal a déglutir, il m’en a fait avaler une bonne quantité en me pilonnant la bouche, le reste coule de ma bouche sur ma minijupe et mes bas. Il se rajuste, et part sans même un merci. Mon enculeur qui s’active depuis un moment me parle enfin et me dit qu’il va jouir. Je lui demande alors ou est ce qu’il veut jouir, comme me l’a appris mon souteneur. J’aurais le droit en retour à un très respectueux « sur ta gueule de pute ». Décidément, j’ai deux rustres d’un coup. Je me retourne, m’agenouille bien à hauteur de sa bite, je le laisse s’astiquer et je le regarde droit dans les yeux la bouche grande ouverte, le client est roi ma foi. Je l’entends grogner, il se contracte et m’arrose le visage, une partie dans mes cheveux blonds à la première giclée, une autre sur ma joue et la dernière sur ma bouche et mon menton. Le maquillage parfait pour mon activité. Celui-ci me demande plutôt gentiment de lui nettoyer le chibre, je m’exécute et pompe son sexe tout gluand qui rapetisse. Je roule littéralement une pelle a son sexe et m’active sur son méat pour que Mr soit complètement propre, une fois fait, celui çi me complimente sur mon cul et mes talents de pipeuse.
2 clients d’un coup, ça démarre fort.
Les deux lascars étant repartis, mon mac vient me voir. Il a tout observé tranquillement et me félicite, il voit mon visage souillé et me félicite pour ce maquillage. Il ‘autorise a m’ essuyer, il faut que je sois présentable et propre pour les autres. Il en profite pour entretenir mes lèvres en y glissant sa bite une fois nettoyée.
- Histoires vécues:
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eu de temps après cet épisode de dépravation sur le parking, bien qu’ayant été mise à rude épreuve par mes « clients ». Après cet épisode, j’ai rencontrés d’autres hommes, le plus souvent chez eux.
Mes désirs, cependant étant de plus en plus exacerbés, je pris donc contact avec le mâle Alpha. L’entrée en matière est classique avec un rudoiement vocal qui est devenu une habitude à présent. Après avoir échangé un petit peu et notamment sur mes talents de pute de parking, il m’indique sa disponibilité pour me recevoir et m’indique de prendre deux tenues complètes et mes accessoires de beauté, une de mon choix avec laquelle j’arriverai chez lui, et l’autre composée de bottes en vinyle rouge, bas résilles mon ensemble string soutien-gorge et porte jarretelle en vinyle rouge, ma mini-jupe et ma veste vinyle rouge Catanzaro, ma perruque longue de blonde ravageuse. Au vu de la tenue demandée, je me dis que je serais tout sauf discrète s’il me sort.
Pour ma tenue libre, je m’interroge, je suis toujours habillée comme la dernière des trainées. Je décide donc de prendre le contrepied. Je prends de jolies sandales à talons aiguilles avec une légère plateforme j’agrémente ceci avec une paire de bas Nylons couleur Nude et un porte-jarretelles noir Cervin. Un joli string et soutien-gorge en satin et dentelle noir également. Pour la jupe, mon dévolu se porte sur une jupe tailleur fendue rouge vif satinée avec une ceinture épaisse a grosse boucle. En haut, un chemisier classe taupe en satin avec des petites épaulettes et un ruban pour attacher à la taille, je complète avec la veste assortie au tailleur. Pour ma crinière, j’opte pour une longue chevelure rousse avec des anglaises pour parfaire mon côté glamour. J’opte pour un maquillage léger sur les yeux mais que je complète de long faux cils en revanche, ma bouche est peinte avec un rouge vif et outrageux. Me voilà prête en bourgeoise classe et glamour.
Il est temps d’y aller, une fois devant chez lui, je me gare dans la cour, je m’extirpe de ma voiture tant bien que mal, légèrement engoncée dans ma tenue très ajustée. Je prends mes affaires et je sonne à sa porte. J’entends son chier aboyer et lui arriver d’un pas lourd.
La porte s’ouvre et je lis la surprise sur son visage, cette expression laisse vite place à un sourire plutôt moqueur et pervers. Il me dit doucement « alors comme ça on se prend pour une bourgeoise de la haute ? Et bien je vais te montrer ce que je leur réserve à ces petites salopes arrogantes. » Il me prend fermement par le bras et me fait bouscule à l’intérieur. Mes talons hauts me font vaciller il me traine dans la cuisine et me scrute de bas en haut en me demandant si j’ai bien respecté toutes ses demandes. Je lui montre ma deuxième tenue, tous mes accessoires et mon maquillage, il me flatte la croupe à travers ma jupe et me traîne dans le salon.
Il se plante droit devant moi me dit froidement « alors la bourgeoise, on est venue se faire souiller par le bas peuple ? » Sur ce, il se racle la gorge profondément, j’assiste impuissante à la scène perchée sur mes talons, le coup part, je sens le mollard me percuter en pleine face, il est gros et visqueux, il coule le long de ma joue, sur mes lèvres, mon menton et tache mon beau chemisier et ma veste. Il éclate de rire, et se délecte de ma stupéfaction et de mon air outré engoncée dans mon tailleur.
D’un geste, il me saisit par le bras et me fait agenouiller, je m’attends à ce qu’il se dégrafe et me fasse goûter à son chibre comme il en a l’habitude, mais surprise, il enlève son pantalon, se tourne, écarte ses fesses me prends par la tête et me fourre littéralement le visage dans son cul. Je m’agite, j’essaye de garder mon équilibre et j’entends « C’est bien ma bourgeoise, on va inverser les rôles, c’est toi qui va me lécher le cul à présent, lèche bien partout et va bien au fond » Je me retrouve donc avec le visage écrasé par son cul avec ma langue au fond de son cul, je me dis que la bourgeoise, ça va être un choix de tenue très humiliant pour moi.
Je continue mon office, je lèche, je suce j’aspire, selon ses ordres. Pendant un long moment, je m’applique à être une bonne lèche cul pour ne pas m’attirer ses foudres. Une fois le supplice terminé, il me félicite pour mon œuvre, il se relève, je suis encore à ses pieds, j’entends le deuxième coup de semonce. Le raclement est plus profond, je vais pour détourner mon visage, il me tire par les cheveux, mets agenouillée dans sa trajectoire, je me débat, j’ai les yeux et la bouche ouverte. Le crachat s’écrase sur mon visage, un peu dans ma bouche, mes cheveux et mes habits. Il ne m’a pas loupé sur ce coup là.
Je saisis mon sac à main, pour prendre un mouchoir et me nettoyer, mais le temps de l’action, en un éclair, il me repousse contre l’accoudoir du canapé, il a sorti son chibre qui est bandé très dur, manifestement, ça l’excite les bourgeoises guindées. Il me fourre d’un grand coup sa bite dans la bouche au plus profond qu’il lui est permis d’aller, il grommelle de manière sévère « Moi les bourgeoises je leur encule la bouche, je les souille et je me torche avec ».
Son chibre est au fond de ma gorge, je hoquète et tousse sous la pression de celui-ci, ce qui me fait saliver plus que la normale. Il se met alors à faire de grands allez retour entre mes lèvres, à chaque coup de boutoir, ma tête se cogne et se bloque contre l’accoudoir ce qui lui permet de forcer correctement ma gorge, il cogne contre ma luette et montre le bout de son gland à l’orée de mon œsophage. Je déglutis tant bien que mal, sans pouvoir avaler ce trop-plein de salive. D’un côté cela me permet de lubrifier ma gorge et d’encaisser la pénétration dévastatrice de sa queue.
Je sens maintenant à chaque aller et retour la bave qui coule l long de a veste et de mon chemisier, je regarde mon burineur, il continue ses mouvements en me tançant « Voilà poufiasse, ça sers à ça la bouche d’une bourgeoise, d’habitude vous passez votre temps à baver sur les autres, je vais te le faire mettre en pratique ». Il sort sa bite de mon fourreau buccal, se retire. Deux énormes filets de bave épaisse relient ma bouche à son chibre, j’en profite pour reprendre profondément ma respiration, bien ml m’en pris, la troisième salve arrive au niveau de l’arcade. Je sens un glaviot épais qui coule très lentement le long de l’arcade puis de mon nez jusqu’à mes lèvres, mon menton puis sur ma poitrine couverte de satin. Une immondice verte et jaune est incrustée dans mon chemisier et se mélange avec les grands filets de bave reliant ma bouche et sa bite qui se dépose partout sur mon haut, ma jupe, mes bas. Ma tenue serrée ne me permettant pas de me mouvoir aisément, je reste à sa merci.
Il s’assoit sur le canapé, me met dos à lui et me saisit en me faisant m’asseoir sur lui et par la même sur son chibre luisant, la pénétration est rude, heureusement, je m’étais ultra lubrifiée avant. Ma jupe est belle et classe, mais je suis coincée, je ne peux faire de grands mouvements avec mes jambes. Je subis donc, encore une fois, des coups de bites violents qui forcent mon cul et encourage mon oppresseur qui commente les situations dont il s’amuse « alors la bourge de caniveau, tu voulais une assise financière, je vais t’en offrir une autre d’assise, bien au fond de ton cul ».
Il me secoue comme une poupée désarticulée, à chaque mouvement, je m’empale sur son pieu qui écarte mes chairs. La douleur laisse place, à la chaleur dans mon ventre. Je sens sa bite qui palpite. Il va à chaque coup de piston un peu plus loin dans mon fondement, je sens un plaisir et une sensation douce qui envahit tout mon buste. Le bougre en prend alors plaisir à me titiller. « Alors la bourgeoise, elle aime ça la bite du peuple dans son cul, d’ailleurs tu vas venir le gouter ». Il s’arrête alors, me fait bien asseoir sur son mandrin afin que celui-ci s’enfonce le plus profondément possible dans ma boite de Pandore. Il se retire alors en me faisant agenouiller comme à l’église, il me fait mettre les mains dans le dos, et me signale « Les bourgeoises comme toi, ça aime bien aller à la messe, et bien voici ton Ostie, profites, il a été lustré et a bon goût ».
J’approche tout doucement ma tête, pour une fois il ne force rien et me laisse faire. Mes mains étant dans mon dos, je laisse aller ma bouche sur sa verge, n’étant freinée que par son pubis. Je redouble d’ardeur sur cette bite pour contenter la classe prolétaire Classe, je ne le suis plus du tout, les différentes sécrétions sur mon chemisier et sur ma jupe continuent à couler le long de mes bas, jusqu’à mes escarpins, je me sens sale, mais aussi excitée, par ces diverses souillures. Pendant que je suis vissée au bout de son sexe, il me saisit la tête par l’arrière et m’enfonce la bouche sur son pieu jusqu’à la garde, d’un regard pervers, il sourit et laisse échapper de la salive de sa bouche qui vient lentement couler sur mon visage et mes seins.
Il desserre ensuite son étreinte et me laisse à 4 pattes, et me fait sucer sa bite alors qu’il s’assoit dans le canapé. Quelque chose me surprend, je sens quelque chose d’humide sur mon cul, d’un bref coup d’œil, je vois son chien qui m’entreprend l’anus avec sa langue, son maître me glisse » et pourquoi les bourgeoises ça ne serait pas fait pour les chiens » ? Sur ce, il m’enfourne sa bite et son chien me refait complètement le cul avec sa langue râpeuse, je suis prise au piège.
Je sens quelque chose qui coule sur mes bas, le chien frotte son sexe contre le nylon une substance gluante coule de son pénis et salit mes bas et ma jupe. Il essaye de me chevaucher, mais heureusement il est trop court sur patte. La main de son mettre me ramène à la réalité en m’accélérant brutalement ma fellation avec sa main.
Puis il relâche la pression, me laisse reprendre mon souffle, fait le tour de moi et réintègre son chibre dans mon cul en me félicitant « bonne bourgeoise, tu astiques plus qu’une soubrette, tu m’as bien lustré »
Je suis secouée pendant cette saillie et j’encaisse des claques sur les fesses, il m’invite a bouger mon cul pour m’empaler toute seul sur lui dans cette levrette « pour une fois c’est la bourgeoise qui est au turbin « harangue t’il.
Puis il sort de mon cul, je me dis qu’enfin le final est arrivé et que tous ces outrages vont prendre fin. Je perçois dans son regard une interrogation. Puis il me prend par le bras et me lève, je le suis tant bien que mal, nous parcourons le salon, marchant avec difficulté sur mes hauts talons pour suivre le mouvement, nous passons une porte, il en ouvre une autre, et là, surprise, il m’emmène dans les toilettes. Je suis stupéfaite, l’idée à laquelle il a dû penser ne présage rien de classe et glamour.
Je jette un rapide coup d’œil à la cuvette, celle-ci à plateau avec un fond plat, et manque de chance, je m’aperçois que ce petit salaud n’a pas tiré la chasse et qu’une urine jaune stagne sur le plateau. Je le regarde pas très rassurée, et là il m’assène le coup de grâce. « Les petites bourgeoises coincées du cul de la haute, moi je leur remets les pieds sur terre et la tête dans les chiottes.
Je suis totalement décontenancée, je ne m’attendais pas à ce scénario. Je suis debout face au WC, je sens ses mains sur mes épaules, il appuie dessus, cette satanée jupe m’empêche de résister, je suis donc à genoux, face à la cuvette, je sens sa main qui appuie sur ma tête, je prends ma respiration. Ma tête pénètre dans la cuvette, je sens une odeur âcre et forte. Sa main promène ma tête sur tout le pourtour de la plateforme, il utilise mon visage et mes cheveux pour nettoyer ses toilettes. L’urine imprègne mes cheveux, je suis trempée, il continue son office en fanfaronnant « une pute de bourgeoise c’est mieux qu’une soubrette pour nettoyer les gogues, nettoie bien toute ma pisse, c’est la seule chose a quoi tu es bonne » une fois avoir été imprégnée de toute l’urine stagnante, il rétorque « et bien salope, il faut faire briller maintenant !!! » je dois à présent, lécher la cuvette pour finir de nettoyer celle-ci. Bien que totalement humiliée, je sens mon anus ruisseler de désir, il a dû le sentir, il me perfore littéralement le cul pendant que je continue à laver ses toilettes la tête dans la cuvette.
Il me pilonne si fort que ma tête se cogne et mon visage essuie de nouveau les parois. J’entends celui-ci maugréer « sale pute, t’aime te faire enculer la tête dans les chiottes, prends bien mon chibre au fond de ton cul sale trainée. Tu n’es bonne qu’à me servir d’urinoir et de lustroir à bite » J’encaisse tant bien que mal sa sodomie belliqueuse, il maintient ma tête plaquée contre la faïence. En moi, son chibre va et vient à une vitesse folle, mon cul chauffe, mais mon ventre et mon visage sont en fusion, je halète comme une petite chienne tellement je sens la vague de plaisir m’envahir.
Soudain, il donne le top départ, il me prend la tête, me retourne me présente sa bite qu’il frotte contre mon chemisier souillé, et me fait sucer en cravate de notaire. Je me prends inévitablement un crachat glairé qu’il prend plaisir à m’administrer, puis je sens sa verge se contracter. Un puissant jet de sperme me ravale le visage un deuxième se perd dans mes cheveux, le dernier file au fond de ma gorge et sur mon menton. Il me flatte en soupirant « C’est bien, tu apprends très vite tu étais une petite effarouchée, je vais te faire devenir une pute dépravée. Tu as bien fait de t’habiller en bourgeoise, ça m’inspire, d’ailleurs suis moi, je dois te remercier ».
Je prends le temps de me relever, de me réajuster. Ma veste est maculée de tâches, mon chemisier est détrempé et dégoulinant de bave, d’urine et de glaires qui viennent finir de souiller ma belle jupe satinée. Mes bas sont luisant des souillures infligées par mon vicieux pervers. Une fois ma jupe redescendue mon chemisier remis en place, ainsi que ma veste, je retourne dans le salon. Il sort une cigarette de son paquet, prends un briquet et me dit de le suivre dehors. Je lui emboite le pas, prenant le temps de savourer cet épisode intense. Une fois dehors, il allume sa cigarette et me dis « je tenais à te remercier de la meilleure des façons. Il enchaîne en tirant sur sa clope, il me dit en me crachant la fumée au visage « donc voilà, agenouille toi devant moi et attend mes remerciements ». Je m’exécute, j’entends le zip de sa braguette descendre, je comprends alors qu’il manquait une chose, L’urinoir !!! Je ne lui ai pas encore servi d’urinoir.
Je prends donc ma plus belle pose de salope, j’ouvre la bouche, et je commence à sentir le liquide chaud qui s’insinue dans mes cheveux, ma bouche, il me félicite tout en m’arrosant « mais on dirait que tu aimes ça être souillée, ah, les bourgeoises, c’est comme les cochonnes soupire t’il ». Son jet trempe à présent ma veste, mon chemisier et fini de ruiner ma jupe. Je suis accroupie dans une flaque, dégoulinante de pisse, de salive, de morve, et de foutre et plutôt satisfaite de cette situation au final. Une vraie bourgeoise dépravée.
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