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cuir (20)
Mis à jour le 22/10/2016
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- Je suis un/une :
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Trav
- Je recherche :
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Femme, Homme, Trans., Trav.
- Age:
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63
- Pays:
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France
- Région:
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Auvergne
- Ville:
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Clermont-Ferrand
- Votre message :
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fetishiste du cuir pour partager cette passion,
Je deviens Florence lors de mes sorties nocturnes en ville et en extérieur, bois, aires de repos, parkings. j'adore porter du cuir et des cuissardes ainsi que de la fourrure ceci est l'essentiel de mes tenues vestimentaires.
Je me déplace en femme lors de mes sorties, mais pas de RDV sur ma région.
Kiss
- Ma Sexualité:
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Travestis
- je recherche :
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Femme, Homme, Couple, Travestis, Transsexuelle
- Type d'échange :
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Soumission, Fétichisme, Voyeurisme, Exhibitionnisme, Echange Photo/vidéo, Suivant feeling
- Disponibilité :
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En week-end, Soirée
- Mobilité:
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Se déplace uniquement
- Fantasmes:
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malheureusement à force ils sont réalisés
- Histoires vécues:
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ceci est du vécu, ce sont des faits réels, Entre autre,(hiver 2001 à la louche), petite sortie hivernale et nocturne sur un hippodrome ou plutôt un rdv (à risque, je l'ai su par la suite) pris sur un site de tchache grand public connu. M’étant trouvé une personne sympathique en tchatche, puis sur MSM, nous nous sommes donnés rdv, chose que je ne faisais pas habituellement, j'étais tombé à croc sur le feeling de cette personne, la discussion était pile dans ma recherche, il aimait un TV habillé en cuir, chevaux, etc, cela coller, j'étais en confiance et sous le charme. Le temps de m'habiller et je me lance. Cette personne s'occupait de l'entretien sur un hippodrome que je connaissais et étant hors saison le lieu était donc vide (bonne pioche) étant passionnée d'équitation et de ce qui va avec, me voila partie. Je m'arrête un peu avant d'arriver et je fini de mettre et d'ajuster ma cagoule, un corset de cou, ma toque cuir et fourrure et la mise en place d’une coquille sous mon leggins, (ce soir la je devais avoir un pressentiment). J’arrive sur le parking désert et je me gare vers l’entrée ou il m’avait demandé de me garer.
J’attend dans la voiture moteur coupé, car l'hiver à 23H même avec une température négative, j'étais on va dire chaude, excitée et angoissée. j'avais mis pour l'occasion et à sa demande,mais je l’avais bien dirigé aussi, un leggins cuir en dessous pour ne pas avoir froid au fesse :), une jupe portefeuille, hauteur au dessus des genoux, un body, un corset, un boléro, des gants opéra une cagoule (le tout en cuir) avec une toque en fourrure et des lunettes de soleil claire (pour donner un look pas trop sévère) et rester discrète, une paire de cuissardes de chez ernest, pour être dans le thème j'avais mis une paire d'éperon, un manteau long avec capuche bordé de fourrure, ainsi que le bout des manches et le bas du manteau, le tout en cuir noir cela va de soit. j'enlevais du revers de mes gants la buée sur les vitres et au bout de 15' une silhouette est venu dans ma direction mon coeur battait, c'était mon RDV, conforme à la discussion, il m'a aidé à sortir de la voiture, m'a complimenté pour ma tenue, qui était conforme à ce que je lui avais dit que je porterais pour le rencontrer, il m'aida à mettre mon manteau que j'ai laissé ouvert, malgré le froid je voulais qu'il voit mes cuissardes en marchant, il m'a demandé de laisser mon sac à main dans l'auto l'endroit étant sur, de toute manière j'avais dans une de mes poches intérieur de mon manteau quelques accessoires utiles pour ce genre de sortie ainsi qu'une cravache (une cavalière a toujours cette accessoire). Il me dit que nous allons aller aux écuries, mais en me faisant découvrir le site, j'étais hyper excité, entendre le bruits des talons de mes cuissardes résonner dans les bâtiments, sentir l'odeur malgré le froid propre aux écuries, il était la me tenant par la taille, car le sol était gelé, à me guider pendant 15' à 20' me faisant visiter et commençant à me caresser humm, que du bonheur de marcher au bras d'un mâle avec une tenue que j'adore, je ne sentais même pas le froid glacial. Arrivés devant une ranger de box, il me propose de rentrer, nous rentrons alors dans un qui était éclairé et au moment ou je passais la porte et que je voyais ce qu'il y avait dedans, il me poussa alors violemment et je failli m'étaler,les talons de mes cuissardes s'accrochant dans la paille qui recouvrait le sol. Sauf que je suis tombé dans les bras d'une personne, personne que j'avais vu en passant le seuil, quelle surprise. Mon coeur s'emballa, j'entendis la porte derrière moi se fermer. Que va t'il m'arriver ?.
D’une impulsion en arrière et en titubant mes talons raclant le sol paillé, je me suis vite remise sur mes aplombs, je fis quelques pas de coté et me retrouva contre des bottes de pailles qui étaient contre le mur, j'étais coincé. Je me suis alors dit: flo ne panique pas, je suis toute cuirée donc je ne risque rien. Le premier gars me dit qu'il avait fait venir un pote à lui et qu'ils comptaient bien s'occuper d’une salope comme moi. Mon coeur battait très fort, m'étant reprise, droite dans mes cuissardes et collée contre ce mur de pailles, ils se sont approchés de moi, je ne bougeais pas appuyée contre les bottes de pailles, ils ont commencés par m'insulter. La première gifle m'arracha les lunettes, puis ils se mirent à me caresser, tout le corps y est passé, un mis sa main autour de mon cou pour m'étrangler, heureusement je portais un petit corset de cou à baleines, à l'origine pour le look fétish mais bien utile dans cette situation, l'autre me frapper, gifler et me pincer, ils s'agrippaient à moi comme deux sauvages, dans ma tête je passais tous les scénarios possibles, violé, battue, assassinée etc, etc que va t'il m'arriver. Celui qui m'étrangaitr avec une main puissante me tirât au milieu du box pendant que l'autre m’enlevait mon manteau en cuir qu'il jeta à terre. Il vu la cravache et s’en saisit, puis me repoussât violemment contre les bottes de pailles, je sentais à travers ma jupe et mon leggins les brins de pailles qui me piquait les fesses, et de l'autre coté sur mon visage protégé par ma cagoule en cuir et aussi sur mes jambes gainées de mes cuissardes pleuvait des coups de cravaches. Leurs mains s'occupées de nouveau de mon corps recouvert de ce cuir qui me protégé, même si certains coups étaient intenses. Toutes les parties, le corset, le bolero mes gants opera ma cagoule et mes cuissardes était griffés malmenés, ils s'agrippaient, j'étais tétanisée, apeurée mais une excitation montée en moi, dans un réflexe, je leur demanda de sortir leurs sex et je me mis à les branler.
Un sex bien dur dans chacune de mes mains gantés, je leur cria pleins de cochonneries et ils n'ont pas été long à jouir sur mon cuir, sur ma jupe et mes cuissardes, celui qui m'étranglait serrer de plus en plus mon cou et je sentis lorsqu'il jouis sur moi son serrage diminuer, jusqu'a ce qu'il lâche prise. J'avais retourné la situation, de prédateurs, ils étaient passé en agneaux. après avoir repris mes esprits et mon souffle, avec le froid de grande bouffée de bué sortait par ma bouche, ils avait reculés pour se reboutonner, je remis mon manteau qui trainé par terre et mettant réajusté et remis contre les bottes de pailles, attendant peut être un autre assaut, nous nous sommes mis à discuter ensemble un long moment, j'avais laissé mon manteau entre ouvert, pour qu'il puisse voir ce que leur sperme avait fait sur ma jupe et mes cuissardes et au bout d'un moment les ayants calmés et mettant rassurée moi même, je demanda de sortir et nous sommes partie de ce box et marchant à travers les bâtiments escorté par ces deux mâles, comme j'étais arrivé avec surtout une expérience qui m'a fait passait par tous mes états, j'avoue qu'une fois avoir démarré la voiture, je poussais un ouf de soulagement, j'étais entière, à par quelque douleur à droite et à gauche, je n'ai pas du rouler 1 km et je suis sorti pour me faire jouir à mon tour tellement cela m'avais excitée, j'ai marché autour de la voiture quitté mon manteau pour sentir l'air glacé sur mon cuir ce qui me faisait du bien . Par la suite, je ne les ai jamais revus mais j'ai toujours un moment de plaisir à penser à cette soirée, que maintenant je regrette de n'avoir vécu qu'une fois et eu qu'un assaut, j'ai inspecté ma tenue le lendemain et il a fallut beaucoup de cirage et d'huile de coude pour effacer les traces laissées sur mes cuirs. Tout comme certaines petite rougeur sur ma peau.
Une autre aventure : Le péage d’autoroute.
Je venais de m’acheter une fourgonnette expert. Fourgonnette qui m’a longtemps transporté dans mes déplacements nocturnes. J’avais pris ce véhicule chez un mandataire et il était immatriculé en Belgique. Pour l’essayer je suis donc allé faire une petite sortie nocturne sur une ou deux aires autoroute. Je portais pour la circonstance, Une paire de bas Passion de chez gerbe, Une paire de cuissardes noires, Une jupe portefeuille en cuir noir longue, qui arrivait mi mollets, en haut je portais un pull col roulé noir, une paire de gants opéra noir en cuir, une toque en fourrure et une doudoune en cuir noir, hiver oblige Je n’avais ni perruques ni maquillage, c’étais en essai de véhicule. Après être allé sur deux aires de repos où j’avais l’habitude de fréquenter, je faisais le tour de ce nouveau moyen de transport que je venais d’acquérir. Puis Je repartis en direction de chez moi, En arrivant au péage, Je saisis une veste qui était à ma droite, J’ai toujours mes affaires de garçon, jean, chaussures bateau, pull et vestes à porté de main, au cas ou et cela ma servie une autre fois dans un cas bien précis pour me changer rapidement. J’avais donc la veste sur les genoux J’insère le ticket dans la machine et mis les pièces. La barrière se levant je commençais à rouler, lorsque deux gendarmes surgir devant moi. Je m’arrête. Je descendis la vitre. Ils me demandèrent les papiers du véhicule et les miens, ayant toujours ma veste sur mes genoux et donc sur ma Jupe cuir, je sortie les papiers. Je demandai ce qu’il se passait. Ils me répondirent que c’était un simple contrôle. Ils me demandèrent pourquoi mon véhicule immatriculé en Belgique je répondis que je l’avais pris chez un mandataire. Le deuxième gendarme par la droite mis un coup de torche électrique pour voir ce que j’avais dans l’habitacle, Je ne sais pas s’il a vu mes cuissardes qui était au niveau des pédales, Ils ne m’ont pas demandé d’ouvrir l’arrière, sinon ils auraient pu voir mes très belles cuissardes ainsi que ma très belle jupe en cuir. Ils me rendirent mes papiers et je repris la route, Cela c’était passé si vite que je n’avais même pas réalisé ce qu’il m’arrivait. Ce n’est qu’après je me suis dit comment j’aurais expliqué cette façon de m’habiller. Et je suis rentrer tranquillement chez-moi. Je me pose encore la question si le gendarme Qui était à droite, en éclairant l’habitacle avait vu ma jupe et mes cuissardes talons aiguilles ??
Je raconterais d'autres aventures vécus lors de mes sorties nocturnes: chantier, le bois, parc, autoroutes et aires, le péage d'autoroute et gendarmerie, contrôle police, hôtel et parking, promenade à paris et en ville de province, squat et aires d'autoroute et la nuit élastique.
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Commentaires
Signer le livre d'or
shanice
cuirvinyl
Je t'embrasse
marbella
J'aime le cuir comme toi !!! Je cherche une tv belle et sexy pour partager cette passion de dans en temps........... maile-moi si intérets.
Bisous Marbella