Prêtée par son mari
Un couple libertin avait proposé ce petit jeu. La dame me rencontrerait seule. Ni son mari, ni ma femme ne serait présent. Naturellement, ils seraient au courant: on ne fait pas dans le bête cocufiage !
J'avais demandé des précisions au mari, quant aux limites ou aux idées qu'il avait. Sa réponse: "Traite-la comme une salope !" Cela, avec un sourire, bien entendu.
La voici donc qui se pointe, toute en rondeur et en sourire, dans le lieu convenu: un endroit naturiste. On se met en tenue et on commence à déambuler. Je lui cherchais un bouquet de fleur. Genre grand, beau gosse et bien monté. On s'en va un peu à l'écart. On remarque que quelques hommes nous suivent à distance. Mais ils n'ont pas le profil requis. Qu'ils gardent donc leur distance.
Ma salope de l'après-midi, je la fais mettre à genoux, en lui intimant de me sucer. Elle exécute cette douce gourmandise avec appétit. Comme j'aime. En me caressant les couilles en même temps. Ce qui me fait bien durcir. Elle peut donc poursuivre avec une branlette à l'espagnol : elle a de superbes nichons qui s'y prêtent fort bien d'ailleurs. Ensuite, je lui ordonne de se mettre à 4 pattes. Je me couvre pendant ce temps. Et me voici l'enfilant en levrette. Je sens ses nichons qui ballottent par-dessous tandis que je la tiens par les reins, en la traitant de petite salope dévergondée. Ce qui l'excite et lui fait monter les tours. Elle a du mal d'étouffer ses cris de jouissance.
Le périple continue. Un peu plus loin, à l'écart, elle s'allonge sur un banc. Deux mecs nous ont suivi. Le premier, timide, reste à bonne distance, mais bien placé pour lorgner entre ses cuisses. Je les écarte, pour lui caresser le clitoris. Le deuxième s'approche à portée de main. Il dresse un membre d'une rare grosseur. Ma salope s'en saisit et se met à le branler. De l'autre main, c'est moi qu'elle branle, pendant que je lui rend la pareille. Ainsi parée, elle ne met pas long à jouir du clito.
Les hommes prennent congé. On se relève et le voyage continue. Un peu plus loin, c moi qui m'allonge. Je lui demande de s'occuper de moi. Partout. Elle me prodigue alors un vrai massage de professionnelle. Hum, ses seins qui caressent mes couilles. Ah , sa bouche qui me gobe. Oh, sa langue qui se faufilent dans ma raie... elle sait qu'elle y aura droit, elle aussi. Je la remets à quatre patte. Puis, ayant lubrifié sa rondelle, je lui enfonce mes 18 cm en douceur. Une fois le chemin tracé, je m'active avec plus d'énergie. Là, elle ne peut plus retenir ses cris. Je te me la pistonne avec franchise et vigueur, jusqu'à la faire jouir du cul, la salope.
Je me retire alors et me finis à la main, sur cette poitrine généreuse. Généreuse, comme son mari !
Prêtée par son mari
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