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" Tu aimerais me dominer ? - Oh oui ! "
C'est la question que j'avais posée à cette jeune femme aux formes appétissantes et au sourire mutin, et c'est la réponse qu'elle m'avait faite en passant sa langue sur ses lèvres avec gourmandise. Et maintenant, c'était sur mes fesses et dans leur coeur qu'elle la passait, entre deux salves de claques. J'étais offert à son bon plaisir, à quatre pattes sur le lit, cambré et les cuisses écartées, le nouveau jouet d'une petite fille qui en testerait les limites, alternant baisers, claques et tripatouillages. Nos soupirs résonnaient en écho, entrecoupés des claquements du martinet. Si un coup trop fort me cinglait malencontreusement les bourses, elle s'en excusait d'un baiser délicat... puis repartait d'une volée de claques. Après cet échauffement, elle m'intima de me mettre sur le dos. Elle vint me chevaucher en précisant que je ne devrais utiliser que ma bouche: léchouiller, tournicoter, aspirer, pincer, laper, triturer, grogner...tout un festival pour compenser l'absence de mes doigts. De son côté, elle s'occupait de ma verge qui se gonflait enfin. J'eus enfin le droit de lui caresser la croupe, si ferme et si douce, et le dos. Je continuai ces caresses alors qu'elle se retournait, pour me dominer en jouant à se caresser l'entrée de son antre avec le bout de ma verge encapuchonné. Puis, en s'affaissant, elle me fit pénétrer en elle et se lima sur moi. Après quelques ruades, elle me demanda de passer la prendre en levrette. J'obtempérai docilement et la pris dans un mélange de douceur et de sauvagerie. Je sentis monter ma jouissance et l'en prévins. Elle m'autorisa à finaliser et prit un malin plaisir à remuer son bel arrière-train pour prolonger mon orgasme. Elle m'avoua par la suite qu'elle aussi, elle avait pris son pied...

***

On avait passé une belle soirée avec le monsieur. Et quand sa femme et lui nous avaient proposé de les rejoindre, ma miss n'était pas dispo. On s'est donc fait un trio.
Quand ils sont arrivés devant, il tenait sa femme en laisse: une petite dame, souriante, mimi, avec un beau fessier. Lui: grand, barbu, souriant aussi, et corpulence normale. On monte vite dans la chambre pour s'installer sur le lit et pour dépiauter la femme. Elle ne gardera que son collier. Quelques instantanés...
On se déshabille aussi, pour se lancer dans de chaleureux préliminaires: les deux mecs tètent la dame, qui les branle de part et d'autre; la dame et un mec suce l'autre, une bouche sur la tige, l'autre bouffant les couilles, des triangles aussi...
Je me retrouve dans une figue que j'aime bien, mais à une place différente. Ce soir, c'est moi qui lèche la dame, pendant que son mari me travaille le cul, en vue de me sodomiser. C'est une bonne place aussi.
Les deux hommes se rapprochent, jusqu'à avoir leur queues toutes proches et parallèles. La dame vient s'asseoir dessus, en douceur. Et essaie de se mouvoir. Pas tout facile.
La dame est à genoux. Elle se fait lécher par son mari, qui est couché sur le dos. Moi, je m'occupe de sa poitrine et de son cou. Et c'est dans ma bouche qu'elle pousse un miaulement orgasmique.
Plus tard, j'attache le mari. Un bondage de tout le corps. Il est enfin à la merci de sa femme. Je l'aide à se venger des humiliations subies - mais avec plaisir ! Cette fois-ci, c'est donc moi qui sodomise le sodomite. Sa femme le regarde prendre son pied.
La dame aime aussi la sodomie. Ce qui est assez rare, disons-le. J'en profite donc pour l'enfiler et la ramoner avec énergie.
La soirée se terminera en apothéose. Par une double. La dame chevauche son mari. Qui lui titille le clitoris. Moi, posté au-dessus, je lime le cul de la miss. La tension monte....Le mari décharge... la miss jouit encore... et moi, je me finis à la main sur ce superbe fessier.