L'ennui avec les dames libertines photogéniques, c'est qu'on est toujours tiraillé entre le plaisir de la chair et celui du regard. Tout le monde n'a pas le génie de ces peintres qui arrivaient à conjuguer art plastique et plaisir sous latex... Et si choisir, ce n'était pas exclure, mais patienter ? Dans le jacuzzi, papoter, titiller, exciter seront les seuls objectifs, en plus de se réchauffer. Dans la pénombre du hammam, on poursuivra la mise en bouche sans sortir tout l'attirail. Mais dans la salle BDSM, alors que la croix appelle de ses bras, quelques poses s'imposent. Avec une ambition plus érotique qu'artistique. La muse, jouant l'ingénue, se laisse attacher par les poignets au extrémités supérieures de la croix, puis passe une jambe par-dessus la cordes, laissant à peine deviner ses ouvertures appétissantes. Un curieux système d'éclairage à leds variées réagit aux sons pour changer de couleurs, une véritable incitation à donner des claques sur ces petites fesses pour coloriser l'ambiance.
Sage comme une image, dit-on... Une fois détachée, la dame se rue sur moi, pour un soixante-neuf plutôt sauvage. Au plaisir de la vue s'ajoutent ceux du toucher et du goût. Je connais bien la dame et sa chatte de course, mais c'est la première fois que je la fais gicler dans cette position. Plaisir du goût... Un véritable tsunami ! Qu'elle ne peut plus contrôler depuis qu'un libertin a déclenché la maniclette, faisant de tous ses orgasmes des raz-de-marée. A chacun sa croix.
La vague déferle ensuite sur moi, pour une cavalcade endiablée, ses seins se balançant comme des appâts irrésistibles. Les palper, les goûter, les photographier ?
Choisir, ce n'est pas forcément renoncer... Nos corps tournoient et c'est bientôt la dame qui se retrouve en dessous. Mais pas pour un missionnaire des familles: elle referme les cuisses et les attrape avec les mains, me permettant ainsi de la ficeler à ma convenance.
Ce que cette mauvaise image n'illustre pas. Comme elle ne montre pas non plus qu'après sa bouche et sa chatte, ma bite a encore changé d'orifice. La plus grosse à y être jamais entré, me confie la dame. A chacun sa croix...
Après une courte pause, nouvelle séance de photo shooting (quelle bel anglicisme !). Avec la corde noire cette fois, cette corde qui sait si bien transcender sa beauté.
En tressant les bouts, je faisais d'elle une Lara Croft soumise à mes caprices.
Tous mes caprices.
Si on ne nous avait pas posé de lapin, on aurait pu la prendre en double (ce qu'elle adore). Pour pallier à cette absence, je lui insère donc un jouet dans la chatte, avant de repartir pour une belle sodomie.
Sodomiser une dame tout en la doigtant pour la faire gicler, un pari quasi impossible. Mais pratiquement relevé. Pour terminer la séance, c'est elle qui me finira, à la main, tout en douceur, me tirant des hurlement carnassiers. A chacun sa croix...
A chacun sa croix
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